No man’s LANDES

 

Mon propos photographiques n’est pas un reportage documentaire sur la forêt des Landes.

L’intention est de vous amener à parcourir un paysage particulier.

 

Un paysage qui paraît sans imagination

Et nous offre une étendue fuyant vers un horizon rectiligne, parsemée de coupes rases ou de zones décimées par les tempêtes

Où seuls subsistent, comme des sentinelles, quelques pins.

 

Pas de sentiers ni de chemins, mais des voies d’accès, des pare-feux qui quadrillent la forêt,

Dont le seul but est de faciliter l’exploitation et les interventions.

 

Un sol sablonneux et marécageux, tourmenté comme un champ de bataille, scarifié par les traces d’engins.

 

Une vision apocalyptique d’une nature « industrielle ».

 

Malgré tout, on se laisse fasciner par une atmosphère étrange,

Au carrefour de nulle part, sans repère, isolé, au milieu d’une apparente similitude.

 

Ce no man’s LANDES n’est qu’une vision fictive.